Films et vidéos

Vous trouverez ici les films et vidéos références sur lesquelles nous nous sommes basés pour construire nos recherches, analyses, cursus en ligne. Si vous souhaitez nous faire partager également vos livres références sur l’eau bien commun, n’hésitez pas à nous contacter pour que nous puissions compléter cette page en cliquant >>>ICI.

LES FILMS REFERENCES DE L’EAU BIEN COMMUN

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“Water makes money”, Leslie Franke, Herdolor Lorenz, 2010

“Water makes money est un film documentaire indépendant (financé à hauteur de 120 000 euros par des dons de municipalités ou de particuliers) de Leslie Franke et Herdolor Lorenz, sur la thématique de la gestion de l’eau potable en France et en Europe. L’enquête menée par les auteurs amène à comprendre les enjeux de la gestion de l’eau (entreprises multinationales et communes), entre « partenariat public-privé » (proche de la privatisation) et ses dérives de corruption, et régie (service public) des collectivités qui résistent en se réappropriant ce bien commun (exemple : la Mairie de Paris). ” (source Wikipédia)

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“Vague Citoyenne”, pour l’eau bien commun”, François Guieu, 2015

“Vague Citoyenne est comme l’eau, tombe du ciel, coule, s’infiltre et gonfle les flots. L’eau est à qui ? À l’État, aux politiques, aux multinationales, aux financiers qui cherchent à se l’approprier, ou bien… à nous toutes et tous ? Des femmes et des hommes, en une déferlante citoyenne, réclament leur simple droit vital. L’eau. En France. Berceau des marchands mondiaux de ce bien commun. Ce film les suit pendant six années et nous plonge dans le bain des militants de l’eau, de leurs actions coup-de-poing et dans les méandres de la justice française.” (source Eau-Rhône-Alpes)

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“Nestlé et le business de l’eau en bouteille”, Urs Schnell et Res Gehriger

“Devenu leader sur le marché de l’eau minérale, Nestlé a vu son chiffre d’affaires dépasser les 80 milliards d’euros. Et, tandis que 900 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau potable, le géant suisse possède aujourd’hui au moins une usine d’embouteillage dans chaque pays. Interrogé à cette époque, M. Brabeck-Letmathe estimait que la question de la privatisation de l’eau pouvait être abordée de deux manières : “L’une est extrémiste, défendue par quelques ONG qui considèrent que l’eau est un bien public.” Balayant cette thèse, il insiste : “L’eau est une denrée alimentaire comme les autres et doit avoir une valeur marchande.” (source Lemonde)

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“Fleur du Futur: Agua Boa”, Valérie Valette, 2009

“Comment le programme socio-environnemental « Cultivando Agua Boa », implanté depuis 2003 au Brésil, dans un bassin d’un million d’habitants, restaure la démocratie participative, répare les passifs environnementaux et prépare un futur viable, en s’appuyant sur la qualité de l’eau et la gestion du territoire par micro-bassins. Un exemple réussi de volonté politique publique alliée à une éthique sociale et écologique de pointe. La méthodologie de ce programme permet de l’adapter et le dupliquer ailleurs dans le monde.” (Source Vaillance Prod)

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“Fleur du Futur : Dobra Voda “, Valérie Valette, 2016.

“L’effet de serre n’est pas le seul responsable : la modification de la surface de la planète par les activités humaines a atteint un point critique. Le petit cycle de l’eau est fondamental pour l’équilibre hydrique et thermique de notre planète. Sa rupture, à travers la destruction des écosystèmes naturels et les mauvaises pratiques agricoles, entraine des conséquences aussi désastreuses qu’ignorées. Mais il est rapide et facile de le restaurer, à une échelle de temps et de moyens à taille humaine… De la Slovaquie aux réserves indiennes du Dakota, du Pays Basque espagnol au Burkina Faso, du Paraguay et de la Corée à la France, un bouquet de solutions dédiées au petit cycle de l’eau…” (Source: Vaillance Prod)

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“Le Rhône, la renaissance d’un fleuve”, PARISOT Claude-Julie, 2015

“Peut-on restaurer un fleuve comme on restaure une œuvre d’art ou un château ? C’est ce qui a été entrepris après les dramatiques crues du Rhône de 2003. Retour sur une entreprise extraordinaire. En décembre 2003, la montée rapide des eaux hivernales du Rhône vire au drame. Le fleuve casse des digues, tue des gens et en déplace des milliers d’autres. C’est le choc. On pensait le fleuve sous contrôle mais un constat stupéfiant s’impose : l’aménagement frénétique et anarchique du fleuve pour le dompter et l’asservir à nos besoins est en partie responsable de la catastrophe. Trop de digues, trop de barrages, trop de béton, de routes et de voies ferrées l’enserrent. Dénaturé dans ses paysages et appauvri dans sa biodiversité, le Rhône redevient même dangereux pour les hommes. On décide alors de le “restaurer””. (Source : Arte)

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“I Custodi dell’Acqua“, de Giulio Squarci, 2015

Dans Carnia , une région éloignée dans les Alpes orientales en Italie , le temps semble s’endormir le long des rythmes cycliques de la nature et de ses éléments . C’est une action sur les ressources en eau locales , dictées par des intérêts économiques externes , de façon inattendue qui réveille les populations locales.

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LES VIDÉOS RESSOURCES

Des communs et des hommes